En matière de commerce, la confiance prime. Une relation commerciale, ponctuelle ou non reflète la confiance mutuelle entre les deux parties. Les services en réseau et le télétravail prolongent ce climat de confiance. Les arnaques et les escroqueries ont également pris de l’ampleur. Ici, il sera question de citer les secteurs où l’on remarque le plus de mauvais payeurs. Ceci, pour se prémunir des éventuels impayés.
La prépondérance des prêts bancaires et le surendettement
Les banques sont les établissements financiers par excellence. Leurs produits et services ne se limitent pas à inciter le public à épargner. Ils encouragent les crédits, que ce soit crédit à la consommation ou pour un investissement. En fait, le crédit est le produit le plus rentable puisqu’il génère des intérêts. Le taux d’intérêt diffère selon la catégorie de prêt et selon chaque banque. D’une part, les banquiers sont contraints de remplir leur objectif mensuel. D’autre part, les clients contractent un prêt pour réaliser un investissement ou un achat quelconque. Ainsi, les besoins se rencontrent. Un nouveau contrat de crédit est négocié. Cependant, les précipitations de part et d’autre dans l’étude du dossier engendrent un non-paiement. C’est le cas dans la plupart des impayés. Vous trouverez de plus amples informations sur https://www.les-mauvais-payeurs.com.
Qu’en est-il des fournisseurs de services publics ?
Ici, les services publics rassemblent les entreprises ou les firmes offrant des services dans l’électricité, le gaz, internet, et tout ce qui est accessible au public. Les fournisseurs de ces services se retrouvent en permanence face à des recouvrements. L’avancée de la technologie moderne avantage les arnaqueurs. Les fausses adresses et les fausses identités sont devenues monnaies courantes. D’autre part, il y a certaines familles qui s’avèrent être les plus démunies. Toutefois, pour satisfaire leurs enfants, les parents s’efforcent de tout faire. De la sorte, l’accumulation des factures les met dans une situation encore plus précaire. D’autant plus que les salaires qui n’arrivent pas à couvrir les dépenses obligatoires. Ce n’est pas toujours des mauvais clients par volonté. Ce sont leurs revenus qui les rendent insolvables. Aussi, avant de signer tout contrat d’abonnement, il est prudent de faire une étude minutieuse. Mieux vaut ne pas vendre plutôt que d’entrainer les clients dans un cercle d’endettement.
Le freelancing, un métier lucratif, mais à très haut risque
Le freelancing est un mode de travail qui connait du vent en poupe. Du recrutement jusqu’au paiement, c’est internet qui joue le rôle d’intermédiaire. Ainsi, il est possible de travailler chez soi, à toute heure. Côté entreprise, le télétravail rapporte beaucoup, car il n’est plus nécessaire d’avoir un nouveau bureau pour travailler. Tout peut être exécuté sans se déplacer au lieu de travail. Ces dernières années ont été marquées par l’avancée majeure du télétravail. Plus de 40 % de la population active a rejoint ce monde. Il est en fait basé sur une confiance profonde entre le patron et l’employé. Les rémunérations sont proportionnelles aux réalisations. Il existe aussi des plateformes de mises en relation entre clients et prestataires de service. Les clients peuvent être des personnes physiques ou des entreprises. Le non-paiement vient en grande partie des entreprises. Celles-ci refusent de payer les services faits. Là, le risque est élevé, car il est très difficile de poursuivre les clients. Pourtant, même difficile, la poursuite est faisable. Actuellement, il existe des textes qui répriment la cybercriminalité.